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Adossé au mythe de la banlieue, le mythe des cités-ghettos fait surgir dans notre esprit de multiples images, du ghetto de Varsovie aux ghettos noirs américains, et une crainte fondamentale, celle d'y vivre ou d'y être confrontés.Instrumentalisé par les politiques, entretenu par les médias, ce mythe opère à partir d'images simplifiées pour une appropriation par le plus grand nombre, faisant oublier qu'un mythe peut en cacher un autre…
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As urban dwellers travel to work, home and play they carve random or predictable pathways across neighbourhoods and districts. This book investigates the urban capacity for movement, the city as a space of circulation, by taking into account not only the physical displacement of people, but also the circulation of cultures, things, and ideas.
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LES PRÉCURSEURS D’UNE RÉFLEXION SOCIOLOGIQUE SUR LA VILLE ET LEURS FILIATIONS 1. De Marx à la sociologie urbaine marxiste française 2. Durkheim et Halbwachs : la ville comme révélateur social et cadre morphologique 3. Weber ou comment la ville permet de remonter aux origines du monde moderne 4. Simmel au plus près de la vie urbaine. LES PROMOTEURS D’UNE SOCIOLOGIE DE LA VILLE ET DE L’URBAIN 5. L’École de Chicago ou la science sociale de la ville 6. Chombart de Lauwe ou la sociologie utile 7. Lefebvre, sociologue de la modernité et penseur de « l’urbain » 8. Ledrut, Raymond, Remy : d’autres promoteurs de la sociologie urbaine. LA VILLE ET L’URBAIN : LES GRANDES PROBLÉMATIQUES DE RECHERCHE 9. Une sociologie dans la ville 10. Une sociologie de la ville 11. Une sociologie de l’urbain
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Depuis plus de dix ans il existe dans la littérature universitaire francophone et anglophone, un débat sur les fondements sociologiques et philosophiques du sens de vivre ensemble, du common good, du sense of sharing, du lien social, de la cohésion sociale et de la citoyenneté. Nous examinons ici quelques-unes des lignes d'argumentation de cette littérature dont on ne peut oublier quelles ont été construites dans un contexte politique. Depuis la fin des années 1980, les gouvernements occidentaux tentent de légitimer de nouvelles formes de contrôle de leurs politiques de protection sociale et de déléguer au secteur privé marchand et à des organisations de la société civile, la prise en charge de certains problèmes dits sociaux. Parallèlement, à l'exception notable de l'Italie, ils construisent des discours sur la nécessité de fomenter un sens du vivre ensemble dans les sociétés démocratiques, vu est-il avancé, l'égoïsme revendicateur des citoyens, leur absence de responsabilité sociale et de toute notion de devoirs et d'obligations, la montée des demandes particularistes, mais aussi, est-il dit, les limites d'action des États face à la mondialisation (devant être entendu leur propre obligation de répondre aux besoins des entreprises soumises à une nouvelle concurrence internationale et réclamant plus de flexibilité du travail, moins de charges sociales). Depuis une dizaine d'années, alors que les bureaucraties étatiques s'interrogent sur l'efficacité de leur action et sur l'esprit de communalité au sein des sociétés qu'elles gèrent, des discours universitaires parlent de «lien social», de «cohésion sociale», de «sense of sharing» et de «common good». Le thème de valeurs, responsabilités et appartenance partagées est à l'ordre du débat public et politique, à l'égal de critiques de l'individualisme égoïste dit généré par le libéralisme politique. De similaires débats sont survenus, notamment en France lors de mutations économiques et culturelles majeures (Donzelot, 1984). À la fin du XIXe siècle, la cohésion sociale fut une préoccupation marquée de milieux intellectuels et gouvernementaux suite à la transformation des modes de vie et des contestations politiques des classes populaires sous l'impact de l'expansion industrielle de «l'Âge d'or». Et à partir des années 1960, des courants de pensée pointèrent la dilution de la responsabilité sociale et civique des individus en raison du rôle assurantiel des États providence (Crozier, 1968; clubs Jean Moulin, Citoyens 60), la permanence de laissés-pour-compte de la croissance (Darras, 1966; Lenoir, 1974; Pétonnet,1968; Stoléru,1974) ou encore, comme dans d'autres pays, l'extension d'une culture de la consommation (Foucault, 1974; Lefebvre, 1966; Marcuse, 1968, 1969). Pour la plupart de ces auteurs, il en allait d'un dépérissement de la vie civique et de l'intérêt politique, de la disparition de tout sens de solidarité entre les membres d'une société et de la nécessité de recréer des liens entre les citoyens et une implication concrète de tout un chacun dans la gestion des affaires collectives. Nous examinerons ici des discours universitaires français et américains reprenant ces thèmes actuellement afin de mettre en lumière leurs divergences mais aussi les apparentes convergences de politiques gouvernementales reproduisant les prémisses de leurs thèses sociologiques.
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Das Kottbusser Tor in Berlin-Kreuzberg wird sowohl wegen seiner Vielfalt und seines Community-Aktivismus gefeiert als auch wegen Schmutz, Drogen und Gefahr gemieden. Wie die Bewohner*innen ihren Kiez sehen, wird oft in Anekdoten und politischen Statements dargestellt, aber kaum systematisch untersucht. Deshalb hat ein Forschungsteam des Georg-Simmel-Zentrums für Metropolenforschung an der Humboldt-Universität im Auftrag des Bezirksamtes Friedrichshain-Kreuzberg an Haustüren geklingelt und nachgefragt: Wodurch fühlen sich die Menschen in ihrem Wohngebiet unsicher? Würden sie denken, dass mehr Polizeipräsenz die Un-/Sicherheit erhöhen würde? Was erwarten sie von anderen Anwohner*innen, und inwiefern tragen solche Erwartungen zum Gefühl der Sicherheit bei? Trägt die alltägliche Nutzung der Nachbarschaft zum Sicherheitsgefühl bei? Dieses kleine Buch stellt die Ergebnisse der Studie vor. Es engagiert sich kritisch mit der berühmten These, dass "Augen auf der Straße" soziale Kontrolle und damit mehr subjektive Sicherheit erzeugen, und untersucht die Relevanz von Dunkelheit, Dreck und Drogen sowie von Achtsamkeit, Gemeinsamkeit und Zugehörigkeit. Die Studie zeigt, dass das Sicherheitsempfinden in einer städtischen Nachbarschaft von vertrauter Öffentlichkeit abhängt. Sie zeichnet sich dadurch aus, dass Menschen einschätzen können, was sie um sich herum sehen (eine Fähigkeit, die bei wiederholter Nutzung von Orten zunimmt) und darauf vertrauen, dass andere Bewohner*innen ihnen den Rücken freihalten. Dabei muss den Menschen nicht immer alles gefallen, was sie an ihrem Wohnort erfahren. Aber in dichten Stadtgebieten mit hoher Diversität profitieren die Bewohner*innen von gegenseitigem Wiedererkennen, wenn es um das Sicherheitsempfinden geht.
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